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It's easy to survivre, to live is harder

6 avril 2015

Just one last time...

Et cette fois où tu étais allongée contre moi, la tête contre le creux de ma poitrine et que tu m’as dit tout doucement « c’est tellement agréable ». Tu t’en souviens de celle-là, de notre dernière fois, notre dernier moment intime, notre dernier moment? C’était juste avant que tu me détruises, que tu me brises le cœur comme personne ne l’avait fait. Moi je m’en souviens. Je me souviens de tout, je me souviens de chaque fois. Je me souviens de tout ce que tu m’as dit, du bon comme du mauvais, de l’enivrant et du destructeur.

Je connais chaque recoin de ta peau, je connais ton toucher, je connais le gout de tes lèvres, je connais tes yeux d’envie, tes yeux protecteurs. Je connais tout de toi, je sais ce que tu aimes et que tu n’avoueras jamais, je sais ce qui te blesse. Je sais lire en toi comme dans un livre ouvert.

Je te veux. Je veux sentir tes mains se balader sur mon corps, je veux me sentir désiré, je veux que tu me dévores des yeux. Je veux ne faire qu’un avec toi, je veux sentir ta peau contre ma peau, je veux te savoir mien. Je veux t’aimer. Je veux t’aimer comme je t’ai toujours aimé. Comme si demain c’était la fin, comme si demain nous n’étions rien, comme si c’était le destin.

Une dernière fois, juste une dernière fois, je veux juste une dernière fois avec toi. M’endormir à tes côtés, connaître la passion une dernière fois, que tu m’attires contre toi au beau milieu de la nuit, juste une dernière fois. Et me réveiller à tes côtés, juste une dernière fois. S’il-te-plait, pour la dernière fois.

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30 mars 2015

Le marionnetiste et la marionnette

Je me sens tellement petite, seule et perdue dans ma petite bulle, mon petit monde tout rose. Ce n'est qu'illusion, protection et mensonge. Un mur que j'ai construit pour me protéger, de la douleur, de la solitude et de toi. J'ai fait ce grand saut dans l'inconnu il y a six mois, avec toi à mes côtés. Ce fut ma première erreur, de croire en toi, de croire en l'amour et de croire aux promesses. Ma deuxième erreur fut de me reposer sur toi, j'ai fait de toi mon pilier alors que tu n'es pas stable, tu es frivole et spontané. Ma dernière erreur fut de t'aimer et de te laisser me détruire. Tu es celui qui me brise le coeur et tu es celui qui me réconforte quand j'ai le coeur brisé. Stupide et naïve, je ne suis qu'une fille.

 

Il n'y a qu'une seule personne qui peut complètement nous détruire, c'est nous-même. C'est moi qui ait le contrôle, je suis le marionnetiste et la marionnette.

13 mars 2015

Love is weakness

She used to be so sweet, so joyful and outgoing. Always with a smile on her face, always laughing.

But then, he destroyed her and left her in the darkness with her demons, all by herself to fight them. She is not strong enough, she is struggling to get through it. She can't live without him, she can't breath without him.
He was her sun, her fight, her everything and now, he's gone and she's alone. She needs him but she can't be with him either.
She is stuck, like a leaf trapped between two rocks. She can't move, she can't breath, she can't live.
He killed her. He killed her but she is still awake and she hears his voice, his laugh behing the wall. She hears him live.

 

The heart wants what it wants righ little angels?

 

17 juillet 2014

I'm just a stupid girl with a stupid crush

           Je n'ai jamais été ce genre de fille, à faire passer un mec avant tout, à tout interrompre pour lui, à dépendre de lui. Je déteste ce genre de filles, incapables de se défaire d'un mec qui se joue d'elle, complètement aveuglées. Et puis tu es arrivé et je suis devenue une de ces filles, stupides et naïves.Au début je croyais que tout était parfait, tu étais mon meilleur ami, je n'avais besoin de personne d'autre, pas besoin d'un petit ami, pas besoin d'un grand-frère, j'avais tout ce dont j'avais besoin avec toi. Pendant un temps c'était parfait, on était parfait. Et puis les choses ont dérapé, on a commencé à dormir ensemble, à passer tout notre temps ensemble et une nuit, on est devenus un. Et on a recommencé, plusieurs fois, passant d'amis en public à amants en privé. Au début, c'était bien, rien n'avait changé, tu étais toujours mon meilleur ami avec juste un aspect en plus. Sauf que tout le monde sait que ça ne marche pas les trucs comme ça, un des deux finit toujours par vouloir plus, et évidemment ce n'était pas toi.Il faut que ça s'arrète mais c'est impossible. Je veux plus alors je ne vais pas tout arrêter et te perdre juste pour ne pas blesser mon petit coeur naïf. Mais je ne pourrais jamais avancer avec toi dans ma vie, soit j'avance avec toi, soit je reste coincée à attendre que toi tu avances et me laisses sur la route.

Et on aurait pu penser qu'avec la fin du lycée, on aurait pris des chemins différents et qu'on aurait fini par s'oublier. Mais non, nous on est assez stupides pour décider de partir à 6000km de nos familles pour 4 ans dans la même école, ensemble. Nouveau pays, nouvelle vie, nouvelle vie, nouveau départ mon cul oui! A quoi servent les nouveaux départs si on emmène les problèmes avec nous? Je quitte le pays, je quitte ma famille, je quitte tout et tu seras là, mon seul repère, tu seras comme ma bouée de sauvetage... Comment je fais pour me détacher de toi maintenant? Je pensais que se séparer après le lycée en allant dans des villes différentes serait comme la mort mais partir avec toi pour pouvoir te regarder t'éloigner de moi alors qu'on sera à côté, ce sera pire que la mort. Tu vas construire ta nouvelle vie, et je serais là pour t'encourager, pour t'aider, jusqu'à ce que je me rende compte que je n'en fait pas partie..

Tu es tout pour moi et je ne supporterais pas de te perdre mais plus le temps passe et plus ce sera dur. Quand tu es avec moi, c'est comme magique, les soucis partent, les angoisses partent. Il ne reste plus que toi et moi, moi et toi. Tu es entré dans ma vie et c'était comme une explosion, un feu d'artifice, boom. I'm just a stupid girl with a stupid crush.

 

Girls, don't be that girl who needs a man, be the girl a man needs.

17 mars 2014

Passé. Présent. Futur

           Comment vivre dans un monde où l'on se sent si seul même entouré de dizaines de personnes? Les gens passent et les gens viennent, parfois ils s'arrètent un instant, marquent notre vie pour toujours et puis repartent, aussi vite qu'ils sont venus. Le temps nous impose sa dictature, on nait, on vit, on meure et entre les deux, ce n'est qu'un amas de sentiments et d'expériences toutes aussi éphemères les unes que les autres. Et puis parfois, on croit pouvoir saisir le présent, parfois on croit détenir un moment particulier mais ce ralentissement de notre perception, si idyllique sur le moment, n'est qu'une façon encore plus cruelle de se souvenir que nous sommes soumis au temps et que il ne s'arrètera pas pour nos beaux yeux même le temps d'un instant. Ce moment, où l'on sent sa peau contre notre peau, où blottie dans ses bras, on sent son coeur battre en même temps que le notre, ce moment que l'on voudrait voir durer pour toujours est tout aussi éphemère que les autres. Et le retour à la réalité sera encore plus difficile.

Certains aimeraient ralentir le temps et profiter encore un peu de ces moments de bonheur, certains aimeraient l'accéler et certains voudraient revenir en arrière et effacer les erreurs de jeunesse et d'inconscience. On veut tous quelque chose de ce temps, mais personne ne peut changer quoi que ce soit alors pourquoi s'acharner? Pourquoi se faire du mal sur de vielles photos, pourquoi ressasser nos souvenirs et vivre dans le passé? Pourquoi chercher à controler le futur, pourquoi rèver de l'avenir si c'est pour être déçu au final? Pourquoi regretter le passé et craindre le futur alors que la seule chose que l'on peut saisir est le moment présent, aussi court que le moment soit, c'est la seule chose qui nous rend vivant, c'est la seule chose qui nous anime...

 

Alors mes petits anges, vivez maintenant. Oubliez vos erreurs du passé, ne stressez plus à propos de demain mais profitez d'aujourd'hui!

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12 février 2014

Le marionnettiste

"Tu es comme un marionnettiste.
Entre tes mains, je ne suis qu'une poupée de chiffon
Et quand tu me reposes, je ne suis plus rien.
Tu as aspiré ma vie, m'a rendue dépendante.
Tu es ma force, mais tu es aussi ma plus grande faiblesse
Tu es mon soleil, mais tu es également mes ténèbres
Tu fais mon bonheur comme tu fais mon malheur
Tu es mon sourire comme tu es mes larmes
Tu es mon remède mais tu es mon poison
Tu es mon rêve mais tu es mon cauchemar
Tu es le seul qui peut me relever quand je suis à terre
Mais tu es aussi celui qui m'y pousse
Tu es celui qui me dit de lever la tête
Mais tu es celui devant lequel je m'incline."

 

L'amour est cruel mes petits anges

16 juin 2013

« A force de regarder les autres filles, tu vas perdre celle qui ne regardait que toi. »

      "Ce garçon, ce garçon l’obsède, il la rend vivante. Il la ramène à la vie, ramène ce sourire qui ne s’est pas esquissé sur ses lèvres depuis si longtemps mais quand il est avec elle, ce sourire est constant, il ne s’efface pas et reste jusqu’au départ de ce garçon.

Quand ce garçon est avec elle, le temps s’arrête. C’est comme si il n’y avait plus que lui, plus que lui et elle dans la pièce. Elle ne voit plus que lui. Lorsqu’elle sait qu’il va arriver, elle ne peut détacher son regard de la porte, jusqu’à ce qu’il la pousse, jusqu’à ce qu’il entre et vienne la rejoindre. Lorsqu’il est avec elle, c’est comme si tous ses problèmes s’envolaient, il n’y a plus que lui et elle, tout le reste s’efface et la libère. Il la libère.

      Elle chérit ces moments de bonheur, ces moments d’accalmie dans sa vie qui n’a plus de sens. Elle chérit ces moments avec lui, chaque instant qu’il lui consacre vaut le monde à ses yeux. Elle vit pour lui.

Elle ne peut s’en défaire, elle est prise au piège. Elle voudrait ne pas penser à ce garçon, elle voudrait ne pas l’avoir dans son cœur et dans ses pensées à chaque instant. Elle voudrait ne pas se demander constamment ce qu’il fait, avec qui il est, quand est-ce qu’il va arriver et venir la voir, elle le voudrait tellement… Mais c’est trop tard, il l’obsède, il fait partie de sa vie, il est sa vie. Alors elle aimerait qu’il la regarde comme elle le regarde quand il ne le voit pas, qu’il pense à elle comme elle pense à lui, elle aimerait l’obséder comme il l’obsède. Elle aimerait qu’il vive pour elle comme elle vit pour lui sans qu’il le sache, elle aimerait qu’il l’aime… qu’il l’aime comme elle l’aime.

      Au lieu de ça, elle attend, elle attend patiemment son arrivée, si il arrive. Si il n’arrive pas, elle ne dit rien, elle ne montre rien, elle prétend que tout va bien, que cela ne la dérange pas, que c’est juste un ami. Quand il va voir quelqu’un d’autre, elle l’observe. Elle observe son visage, ses expressions et attitudes qu’elle connaît maintenant par cœur et qu’elle est capable de décrypter. Elle observe ses yeux qui en disent tant, ses sourcils qui trahissent ses émotions, elle observe sa bouche… Elle observe son corps, comment il bouge. Elle observe ses mains, comment elles accompagnent ses paroles. Elle connaît la vraie valeur du langage du corps, elle sait à quel point il extériorise les sentiments qu’on refoule à l’intérieur. Alors elle observe, elle observe et se tient en arrière, attendant qu’il vienne la voir, qu’il pense à elle. Car elle sera toujours là, dans l’ombre, prête à le rattraper si il vacille face à la vie, prête à l’épauler quoi qu’il arrive. Elle sera toujours là à l’attendre, comme elle l’a toujours fait depuis leur rencontre, depuis qu’il est devenu si important à ses yeux.

Elle ferait tout pour lui. Elle parcourrait le monde entier pour lui. Au moindre mouvement de sa part, au moindre appel, elle quitterait tout pour l’aider, elle quitterait tout pour lui. Il est sa vie, il est sa vie et il ne s’en rend pas compte. Il est sa vie et c’est la raison pour laquelle elle lui donne sa vie."

 

 

Un message quelque peu différent des autres mais il me tient à coeur, je suis assez fière de ce texte et je vous le dévoile.

Si en le lisant, vous aviez une personne en tête, si une personne n'a pas quitté votre esprit pendant toute la lecture, dites-lui ce que vous ressentez. La vie est trop courte pour perdre du temps mes petits anges, vivez, vivez et aimez....

6 avril 2013

"You only know you've been high when you're feeling low..."

       Nous sommes les maîtres de notre vie, de notre futur. On a les cartes en main, on a des choix à faire mais tout dépend de nous, de notre volonté, de notre force. Si on veut oublier quelque chose, on le peut, aussi dur et impossible que cela puisse paraître, on peut toujours, on peut aller mieux si on le veut. Mais la question est : est-ce qu'on veut vraiment aller mieux? L'homme a cette caractéristique étrange, il aime souffrir, il aime déprimer et être triste, il aime s'appitoyer sur lui-même. Il se cache pour pleurer le soir, attend d'être seul pour être sûr que personne ne l'entende, que personne ne vienne. Alors quand il ressent le besoin de pleurer, il lance un film triste, sélectionne la chanson la plus triste qu'il ait, met ses écouteurs, appuie sur play et s'évade. Il s'isole dans cette musique qui traduit si bien le mal qui ressent, en pensant et repensant à cette chose qui le détruit de l'intérieur, qui le rend comme ça et se met à pleurer, tranquillement, seul. L'homme est ainsi. Il pense qu'il n'y arrivera pas, qu'il ne surmontera pas ça, que c'est trop dur, qu'il n'est pas assez fort, mais ce n'est que mensonges, on sait tous qu'on ira mieux, qu'on s'en sortira. On cherchera à fuir, à s'évader dans la musique, dans l'alcool, dans la cigarette, dans la fête ou dans le sexe parce que pendant un temps, on se sent bien en s'évadant, on se sent libre et on oublie tout. On s'enfuit dans un autre monde et on se sent bien, c'est l'extase. Mais on sait tous que le retour sur terre, que la chute n'en sera que plus douloureuse.
Mais on s'en sort toujours, c'est comme ça que la vie fonctionne : on se relève toujours. Parfois pour retomber de plus haut ou parfois pour briller de mille feux...

Alors mes petits anges, quand vous vous sentez triste, lancer le plus beau film que vous ayez, mettez vos écouteurs et pleurer, oui pleurez. Pleurez toutes les larmes de votre corps si il le faut mais relevez vous. Relevez vous et montrez au monde, montrez à la vie que vous êtes plus fort, que vous allez survivre... survivre et vivre!

 

PS : mes petits anges, le titre est extrait de "Let her go" par Passenger, allez écouter cette chanson. C'est une sublime chanson d'amour mais qui montre que l'homme ne ce rend compte à quel point il était heureux, de tout ce qu'il avait  seulement quand il a tout perdu...

"Well you only need the light when it’s burning low
Only miss the sun when it starts to snow
Only know your love her when you let her go
Only know you’ve been high when you’re feeling low
Only hate the road when you’re missing home
Only know your love her when you let her go
And you let her go" <3

3 avril 2013

Overdose...

     Avez-vous déjà repoussé vos limites? Poussé votre corps et votre esprit jusqu'à ce qu'il soient sur le point de lâcher? Je l'ai fais et je le fais encore.

     La vie est dure et on encaisse beaucoup. Parfois on croit qu'on va exploser mais non alors on continue, jusqu'à ce que ce soit votre corps qui n'en puisse plus et qu'il vous stoppe dans votre élan. Alors on prends des vitamines, des médicaments, on croit aller mieux et on se relève, on continue mais ce n'est pas vrai, on ne va pas mieux, notre corps prétend aller mieux. Quand le corps ne lâche pas le premier, c'est l'esprit qui le fait. On est amorphe, blasé. On ne pense qu'à une chose, partir, s'arrêter, se poser et respirer. On se sent dépassé, pas à sa place, en retrait, mal. On se sent mal. On en a marre. Marre de tout, marre des gens, marre de ce qu'on fait, marre de notre environnement, marre de soi. Mais on continue parce que même si l'esprit lâche, le corps est une machine qui continue, pour un temps. On veut partir, s'éloigner, s'évader mais en même temps on ne veut pas faire ses valises et tout quitter, on est en contradiction avec soi-même et c'est le pire sentiment au monde.

Si un jour, un instant vous ressentez ce sentiment, vous sentez ce déchirement, faîtes ce qui est nécessaire mes petits anges, je vous en conjure...

17 février 2013

« La culpabilité n’est, après tout, qu’un sentiment de compassion à l’égard de la détresse et du malheur que l’on a causés. »

       Avez-vous déjà ressenti ce sentiment de culpabilité comme si vous étiez en train de trahir quelqu'un alors que vous n'avez rien fait? Comme si, par vos simples pensées, vous étiez coupable de quelque chose? Non, alors prenez garde, ça risque de vous arriver un jour ou l'autre.

On dit que notre vie est le résultat de nos pensées et que ce à quoi nous pensons toute la journée devient alors notre unique raison de vivre. Oui mais si on ne pense pas à ce qu'on devrait penser? Si on ne pense à la personne qui devrait occuper nos pensées mais à une autre? Oui mais si..? Ce sentiment de trahison nous hante et nous fait culpabiliser encore plus et bientôt, c'est cette culpabilité qui occupera nos pensées et qui nous obsèdera. Comment s'en sortir? Comment vivre alors que, à l'intérieur, on est rongé de culpabilité, alors que des millions de questions et de doutes fourmillent dans notre tête? Comment sourire quand on à envie de pleurer à chaque instant? Comment sourire alors que chaque endroit, chaque parole, chaque chason nous rappelle notre culpabilité? Car oui il faut l'avouer, les chansons ont le don d'exprimer ce que notre coeur ne peut se résoudre à dire... Comment survivre dans cet océan d'incertitude?

Je vous le demande mes petits anges, comment?

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